Ride lissée , sourire
tiré
à 4 épingles ,
MONA-LALA
ouvrit l'oeil.
Des lambeaux de ses
rêves se
matérialisaient devant
elle , en
une pluie d'images ondulantes
une pluie d'images ondulantes
qui se transformaient au gré
des
courants ,changeant parfois
de
taille et de couleurs.
Certaines
même étaient odoriférantes.
On
pouvait y déceler comme un
parfum de violette , trés ancien.
Immodeste.
Un cinéma spontané.
à perte de
ciel.
Ravie
MONA-LALA
applaudit
Là!